Feu Jean Dieblod,maire de quartier à une époque bien révolue,avait proposé de voter pour ou contre le maintien,du stationnement automobile,dans la rue Courte,le suffrage populaire a décidé de bannir les voitures qui,il est vrai gênaient beaucoup,le déplacement piéton,en raison de l'étroitesse extrême des trottoirs; Il s 'est jouté à cela le réamenagement de ces-dits trottoirs,quand cela était possible.Cela m'amène à mon idée de proposer l'installation de bacs à fleurs,voire des bacs pour cultiver quelques légumes,cela part de l'idée d'amener un peu de vert dans cette rue d'aspect totalement minéral,les habitants de la rue purraient gérer ces plantations,ce qui conduirait à rapprocher ceux qui ne se fréquentent jamais,l'installation d'un banc de taille modeste(pour 2 places),pourra constituer une invitation à faire une pause dans ce lieu,peu fréquenté d'ailleurs ( le bannissement des voitures a participé à cette désaffection ),je récapitule: des bacs à fleur ou à légumes,un banc en bois,et voici une rue métamorphosée,peut-être quelques mangeoires à oiseaux pour les quelques moineaux du quartier,pourraient finir de transformer les lieux en espace vivant,convivial et habité par ses habitantsi je puis dire
Je me permets de signaler ici que j'avais caressé l'idée,le souhait, de voir se construire à la place de l''immeuble tout neuf( il a déjà qq années je sais ),le plan de rénovation du quartier avait fait libérer 2 habitations ,dont une petite toulousaine( ma mémoire est sûrement défaillante,mais j'avance qd m^me les numéros 12 et 10 de la Grande rue St Nicolas le 8 étant déjà une friche depuis toujours ,petit terrain vague fermé par un grand portzail à 2 battants , et dans lequel il y avait 2 arbres qui donnaient des grands fleurs roses (?),) habitations furent détruites ,donnant lieu à un terrain vague qui est resté tel quel pendant quelques années,donc qui dit terrain,dit terre,qui dit terre,dit plantes,et qui dit plantes,dit oiseaux,les chardonnerets, entre autres,venaient y faire un tour régulièrement,donc et largement influencé par l'exemple de ce jardin situé rue d'Embarthe,et enclavé entre les maisons,ce jardin de quartier était une première dans toulouse puisque il est né suite à la destruction de plusieurs maisons et au choix de ne pas réserver cet espace à la moindre opération immobilère ( une visite à ce lieu serait trés éclairante,même si le jardin a un aspect un peu défraichi le dernière fois que j'y étais ),j'aurai voulu me mettre en ordre de bataille pour qu'on crée une coulée verte entre la rue Cujette et la gde rue St .Nicolas,mais la tache m'a parue insurmontable,aujourd'hui je regrette de n'avoir pas tenter de défendre ce projet et je me retrouve obligé de me rabattre sur des micro-solutions,mais il y a un tel besoin de vert dans ma rue ,que la plus petite touche de nature est la bienvenue !